• Jogar Capoeira de Angola
    Não é brincadeira
    Menino vem ver lelê
    Com a cabeça no chão
    Vai saindo de aú
    Completando rolê
     
    Jogar Capoeira de Angola
    Não é brincadeira
    Menino vem ver lelê
    Com a cabeça no chão
    Vai saindo de aú
    Completando rolê
     
    Eu fui lá no cais da Bahia
    Jogar Capoeira
    Lembrei de Pastinha de Seu Aberê lelê
    Capoeira de Angola
    Não é brincadeira menino vem ver
     
    Jogar Capoeira de Angola
    Não é brincadeira
    Menino vem ver lelê
    Com a cabeça no chão
    Vai saindo de aú
    Completando rolê
     
    Porquinho sempre falou
    Solte o corpo menino
    Deixe de falar
    Tem que ter sentimento
    Para Capoeira de Angola jogar
     
    Jogar Capoeira de Angola
    Não é brincadeira
    Menino vem ver lelê
    Com a cabeça no chão
    Vai saindo de aú
    Completando rolê
     
    Você diz que entra na roda
    Com ginga de corpo sabe balançar
    Tem que ser mandingueiro
    Para Capoeira de Angola jogar

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  • MACULELE

    Le Maculelê était commun aux fêtes de Nossa Senhora da Purificaçao ( 2 février )
    On connaît pas vraiment l'origine du maculelê, les gens affirment qu'il vient d'Afrique avec les esclaves envoyés au Brésil et qu il a été mélangé avec la culture des indigènes Brésiliens. Pour se protéger des coups de fouet les nègres ce défendaient avec des bouts de bois et des machettes, en esquivant avec le corps comme une danse .

    Avec le temps et la mort des personnes qui pratiquaient le Maculelê, cette danse a été oublié durant beaucoup d'années dans les fêtes de Santo Amaro. C'est en 1943, que Paulinio Aluisio de Andrade, connu comme "Popo do Maculelê"qui a réuni des gens de sa famille et des amis pour leur apprendre la danse du Maculelê. C'est comme ça qu'il a formé un club, connu sous le nom de "Conjunto de Maculelê de Santo Amaro".

    Les années 60, beaucoup d'élèves de Bimba apprirent la danse du Maculelê et ont aidé à le faire connaître partout au Brésil. Aujourd'hui, le Maculelê est incorporé a la capoeira.


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  • LE PANDEIRO


    Le pandeiro est l'instrument national du Brésil. La sonorité idéale se traduit par un ton chaud et "gras" ainsi que par un son sec et cristallin pour les cymbales. Un bon pandeiro reproduit tous les sons de la section instrumentale.
    Sous ses allures de simple tambourin à cymbalettes, le pandeiro est un instrument très riche et très complet que l'on retrouve dans différents genres de musique à travers tout le Brésil. Il accompagne, seul ou avec d'autres instruments, les joutes verbales des "repentistas" (troubadours) de São Paulo, les joueurs de berimbaus au cours des rodas de Capoeira bahianaises, sans oublier les sessions de Pagode à Rio.
    La technique du pandeiro peut-être très simple (accompgnement de capoeira) comme très complexe (le Pagode de Fundo de Quintal, par exemple). En effet, la main-maître compte une multiplicité de frappes distinctes, lui permettant de reproduire tous les sons nécessaires à la polyrythmie. Le pandeiro a acquis ses lettres de noblesse entre les mains de musiciens tels que Marcos Suzano.
    Le pandeiro c'est un petit tambour sur cadre recouvert d'une peau fine. De petites cymbalettes sont disposées sur le bord de l'instrument. On le tient d'une main et on réalise avec l'autre, différentes notes en fonction des positions de la main. Les claquements alternent aux notes toniques et un mouvement de poignet, dans lequel on utilise beaucoup les doigts, qui permettent de jouer une rythmique très spécifique du pandeiro qui soutient le rythme.


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  • L'ATABAQUE


    L'atabaque est un long tambour à peau, qui est comme l'agôgô, un instrument du Candomblé ( Macumba ou Vaudou Brésilien...). Ce tambour traditionnel brésilien est utilisé pour accompagner les danseurs de capoeira. Son système de tension est composé de calles de bois taillées en biseau, que l'on vient placer entre le fût et un anneau métallique, sur lequel est fixée la corde. C'est en frappant sur les calles à l'aide d'un maillet que l'anneau descend et tend la peau de vache. Ce tambour ne requiert pas une forte tension car il doit avoir une sonorité assez grave.


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  • LE BÉRIMBAU


    Cet instrument de la famille des arcs est originaire du continent africain. Il se joue debout, la calebasse portée au niveau du ventre avec un mouvement alterné d'avant en arrière et en frappant la corde métallique à l'aide d'une très fine baguette de bois. La main qui soutient l'instrument tient également un anneau en métal ou un galet, qu'elle applique à la corde pour donner divers effets. Un petit caxixi, tenu avec la baguette, accompagne les rythmiques. Le berimbau s'accorde en tendant l'arc ou en déplaçant la calebasse. Les différentes tailles de calebasse (Viola, Gunga) font d'un bérimbau sa spécificité dans l'ensemble.
    Le bérimbau, est un symbole de la capoeira. Il servait à l'origine à avertir ces combattants des arrivées inopportunes. Constitué d'un arc de bois (biriba) et d'une calebasse, on joue avec une baguette et une pierre (ou pièce de métal), avec laquelle on produit les différents sons qui forment les rythmes. Il accompagne au son des vibrations de sa corde d'acier les combattants de Capoeira dans le rythme de leurs mouvements. Les combattants réunis en cercle chantent et claquent des mains dans ce même rythme.


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